20/12/2010
On a tué la marchande de fleurs.
…à Covent garden, le marchand de citrouilles s’énerve : Eliza doolittle disparaît trop souvent pour prendre des cours de diction. « The rain in Spain stills mainly in the plain » qu’elle répète à l’envie, l’agace, l’énerve, lui tape sur le système. Et il la préfére avec son accent cockney. Le maraîcher déteste ses nouvelles manières de la haute. Pour qui se prend-elle ? La frimousse n’est qu’une fleuriste.
Alors demain matin, il zigouillera Elisa Doolittle, la découpera en morceaux et la glissera entre deux courges.
Et tant pis s’il traîne un cadavre devant Saint-Paul’s Church.
…à Covent garden, le marchand de citrouilles s’énerve : Eliza doolittle disparaît trop souvent pour prendre des cours de diction. « The rain in Spain stills mainly in the plain » qu’elle répète à l’envie, l’agace, l’énerve, lui tape sur le système. Et il la préfére avec son accent cockney. Le maraîcher déteste ses nouvelles manières de la haute. Pour qui se prend-elle ? La frimousse n’est qu’une fleuriste.
Alors demain matin, il zigouillera Elisa Doolittle, la découpera en morceaux et la glissera entre deux courges.
22:02 Publié dans Nouvelles, récits | Commentaires (0) | Tags : halloween, my fair lady, eliza doolittle, marchande de fleurs, fleuriste, saint-paul's church, the rain in spain, diction, haute-bourgeoisie | | Digg | Facebook |