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28/11/2011

La galerie de la route de la soie - Silkroad Art Gallery

 

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  http://silkroadartgallery.com/

 

Pour ceux qui doutent du dynamisme artistique de Téhéran, promenez-vous sur place !

Une artiste préférée :

Gohar Dashti prend en photo une femme qui découpe du poisson, sous les yeux d'un enfant. Par la magie de la photographe, ce n'est pas le poisson qui saigne, mais l'Iran.

 

 

 

 

 


 

© Many thanks to the artist and the gallery for allowing us to employ the picture.

 

 

27/11/2011

Congrégation des crapules et des fantasques

P1030031.JPG

Chers hurluberlus,

Ecrivains farfelus, photographes de fortune, artistes rigolards rejoignez notre Congrégation, et envoyez-nous par mail vos contributions. Après rigolade, votre grand oeuvre sera diffusée sur le blog.

Amen

 

Les filles du huitième arrondissement

Elles achètent leurs vêtements chez Escada

S’appellent Iris Andy Marie-Sara

Prennent leur thé au Fujiyama

Jouent au poker avec José Garcia

Avec José Garcia

 

Elles ont un joli accent

Les filles du 8ème

 Arrondissement

 

Elles sont portées sur la bagatelle

Sur les pelouses à Bagatelle

Elles ont des roses plein leur dentelle

 

Elles lisent 99 francs

Les filles du 8ème

Arrondissement

 

Leurs copines sont anorexiques

Déprimées, boulimiques, botoxées, botuliques

Elles ont des tendances alcooliques

 

Elles font des cures de temps en temps

Les filles du 8ème

Arrondissement

 

Elles revêtent des capuches, des peaux de loups

Elles prennent le paquebot au mois d’août

Vivent à Neuilly, la Celle-Saint-Cloud

 

Elles ont des maris, des agents

Les filles du 8ème

Arrondissement

 

Elles connaissent bien les médecins

Les spécialistes, les généralistes, les podologues, les gynécologues

De l’hôpital américain

De l’hôpital américain

 

Elles mettent des serre-têtes en argent

Les filles du 8ème

Arrondissement

 

Elles aiment compter fleurette

Parc Monceau sur les pâquerettes

« Dieu si mon mari m’achète

Ce p’tit sac Chanel, promis

J’arrête »

  

Elles ont des goûts simples

Tout simplement

Les filles du 8ème

Arrondissement

  

Leurs amies travaillent chez Marionnaud, Kenzo, Shiseido

Elles mettent beaucoup d’autobronzant

Les filles du 8ème

 Arrondissement

 

Elles font du tourisme chirurgical

à Panama sur le Canal

à Rio, Buda u Casa

Places VIP Lady gaga

Leur maman ont l’alzheimer

Et ne se rappellent pas

où elles ont mis

où elles ont mis

Leur carnet de chèque

Où elles ont mis

Leur carnet de bal

 

 

Je crois que je suis pas amoureux

Pas amoureux

Des filles du 8ème

Arrondissement

Sous la couette, avec ma lampe de poche

Nous cachons nos rêves d'enfants sous un tas de cendres.

Et sommes parfois étonnés qu'au petit matin des braises nous brûlent le front.

Je préfère un jour la trace noire, si elle me rappelle l'enfant que j'ai été et l'adulte que je voulais être.

Le rêve prend la forme d'un visage.

Le rêve prend la forme d'un sourire.

Le rêve prend la forme d'un amour.

 

 

14:34 Publié dans Poèmes | Commentaires (0) | Tags : rêve, enfance, sagan, songe, enfant, âge adulte | | Digg! Digg |  Facebook |

24/11/2011

Radio Pardie! encore et encore


podcast

Fourchette et Reine Margot, chronique n°2

12/11/2011

Radio Pardie, c'est parti!


podcast

 

Wall Street, chronique n°1 Soyez indulgents amis auditeurs!

18:22 Publié dans Radio Pardie | Commentaires (4) | | Digg! Digg |  Facebook |

21/10/2011

JOS DE GRUYTER & HARALD THYS (Galerie Micheline Szwajcer- FIAC)

 

 

 

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Untitled (Skeletten), Photographie, 2009

"Sans l'ombre qu'on est soi-même et sans les poteaux du télégraphe, on serait aussi embarassé qu'un pierrot dans un four." A. Rimbaud

JOS DE GRUYTER & HARALD THYS

sont deux artistes dont les installations vidéos oscillent entre le rire et la terreur primitive.

Scène saugrenue que ce psychologue dressant le portrait d'un serial killer, dans une salle qui ressemble à une cantine, face à des auditeurs dont on ne connait pas le métier. "Il devrait récidiver sur un homme." Nous voilà rassurés.

Un personnage psalmodie devant un buste de plâtre. De la pensée magique? Vous êtes deux et vous souriez, vous êtes seul et l'angoisse vous grignote.

Enfin, deux hommes transpercent une statue avec une gestuelle mécanique. On a mal pour elle.

Sinon, quand ils ne filment pas des figurants étranges qui clignent des yeux, ils mettent en scène des photos qui intègrent des pièces issues de leur propre création, schmilblicks magnifiés par les jeux de lumière et par la beauté fracassante du Grand Palais.

Ouf.

 

 

 

 

 

 

Many thanks to the artists and the gallery for allowing us to employ the picture, and special thanks to Caroline Dumalin.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

11/10/2011

Entendu

 

 ...à propos du mythe d'Orphée

Si se retourner était interdit, on serait obligé de faire plusieurs fois le tour du monde, ça serait compliqué.

28/09/2011

Reste-t-il du mascara?

 

 

Souvent lorsque je m’allonge auprès de la cheminée pour goûter aux plaisirs de l’hiver, ma bien-aimée lève ses yeux ronds écarquillés, sur ses pommettes, vers moi, et sous ses boucles blondes entortillées, m’interpelle : «  Te rappelles-tu, Stephan, des ocres de Sienne ? » ; Et tandis que mes paupières tombent, cette courte phrase ne me quitte pas : « Te- rappelles-tu, Stephan, des ocres de Sienne ? » Avons-nous assez d’imagination pour recréer des couleurs ? Ou sommes-nous condamnés à reprendre la route de Sienne ?

J’ai cherché longtemps une réponse. Songez que lorsqu’une personne disparaît, son timbre de voix est le premier à nous quitter. Enregistrons la voix des personnes aimées.

 

            Je bois un café noir, Piazza del Duomo. Sa mousse brunâtre laisse une trace sur les rebords de la tasse. Les passants sont rares à sept heures du matin. L’un d’eux, un chapeau de paille sur la tête a des airs de propriétaire terrien. La terre est encore féconde en Toscane, aussi verticale que ses arbres centenaires. Mon esprit divague et quelques pigeons voltigent devant les blocs de marbre blancs alternés de bandes sombres. La construction de l’édifice fut interrompue par la grande peste du XIVème  siècle, qui décima la ville. Le bâtiment gigantesque n’est donc plus que l’immense transept de l’Eglise primitive. La nef d’une blancheur d’albâtre ne vit jamais le jour…

 

             Ainsi prit fin le rêve d’innocence.

           

            Je décide de quitter la place. Quelques enfants tentent de saisir des pigeons. Les nuages éclairés en contre-jour prennent un aspect argenté. Je déambule dans les rues longues et étroites comme des tables de banquets. La phrase me fait frissonner. Les réverbères dans l’ombre matinale semblent des pendus aux gibets. Sienne est un écrin, cerné de Cyprès, vallonné de vignes, étouffé de chaleur toscane. Je croise un porche sous lequel Casanova a passé une nuit. On l’imagine vieillissant, avec sa canne, au détour d’une auberge. Les rues descendent comme dans un précipice. Aucun linge ne sèche sur les fenêtres de Sienne. La cité n’est pas miséreuse comme les villes du Sud et du Golfe de Naples, où les maisons sans crépi laissent un goût d’inachevé. Pas de volcan non plus. Tout est calme. Un vieillard assis sur une rambarde devant le Battistero fume une cigarette. Est-il dans le secret des couleurs ?

 

            Il me décrit d’une voix claire l’Hôpital Santa Maria Della Scala, les saignées effectuées au Moyen Age dans les services d’urgence, la volonté des édiles siennois d’en faire un établissement de pointe. « Les infirmiers devaient se laver les mains, les lits en bois étaient interdits pour lutter contre les acariens. » Mais l’hôpital a dû sa richesse à la peste et aux héritages nombreux qui s’ensuivirent. Sienne est une ville bâtie sur des cendres, sur les cadavres brûlés pour freiner l’épidémie. L’un des derniers à mourir dans le bâtiment, avant qu’il ne devienne un monument historique, fut Italo Calvino, l’auteur facétieux du Baron perché. Mais la beauté de Sienne n’est pas guillerette, elle est empreinte d’élégance. Les chevaux tombés, sur la Piazza del Campo, en forme de coquillage, lors de courses frénétiques, ont recouvert le sol, les portes et les murailles de sang séché.

 

            La toscane est volubile mais se tait entre 13 heures et 18 heures pour laisser à la ville son raffinement silencieux. Sienne est un monastère, ouvert sur des vignes qui naissent et meurent sur ses terres rocailleuses. Le soleil s’abat sur les visiteurs et les laisse exsangues sans volonté comme un lézard dont le seul désir est de profiter des rayons  brûlants. Nul n’ose percer son secret. Si sa place en coquillage est unique, et ne sacrifie pas au plan des villes romaines, la cité demeure une perle régulière. Rien n’est baroque à Sienne. Nul ne sait ce qui se passe dans les arrière-cours des castellari, ces hôtels particuliers que la bourgeoisie  a désormais investis.

           

            A quoi bon réformer la beauté. Elle est au rendez-vous nacrée d’ocre, et muette. Au couchant, il n’est pas rare de rencontrer  un frison ayant appartenu aux Médicis : il galope seul sur la Piazza, avant de s’engouffrer dans une ruelle, sa robe empourprée par le crépuscule. On raconte que lorsqu’une fille s’amourache d’un Siennois, elle passe déposer une branche d’olivier sur sa fenêtre. Si un moineau se pose sur le rameau, le garçon l’épouse. Les Siennois sont des plaisantins, cependant ils ont une conscience aigue de la splendeur de leur ville. On ne doit pas rire avec elle.

 

            Rassure-toi cependant, lectrice, l’époque où du poison était fabriqué dans des arrière-salles est désormais révolue ; mais les touristes sont des vampires, ils sucent l’âme des villes qu’ils visitent. Cette âme  se dissipe comme un parfum.

           

            La carte postale, l’odieuse, reste épinglée aux murs.

 

08/09/2011

11.09.2001. 11.09.2011. Les photos de Robert Clark (Galerie Polka)

http://www.polkamagazine.com/galerie/11-septembre-2001/366

Cela fait dix ans et c'est comme si c'était hier. Les images ont tellement irradié l'imaginaire collectif, un peu comme celles de la chute du Mur de Berlin. Nous n'avons pas envie de les revoir, alors ce qui nous attire d'abord, sans oser nous l'avouer, c'est le bleu du ciel. La beauté des clichés est un outrage. Une fille s'exclame "Franchement auriez-vous envie d'acheter cette photo, vous?" Elle pose l'unique question.

9h03. Un boeing s'encastre dans la Tour Sud  du World Trade Center, après que la Tour Nord a déjà été frappée. La galerie Polka expose quatre photos de Robert Clark. La première est saisissante, à l'extrême gauche du cadre, l'avion se prépare perpendiculaire à aborder la deuxième tour. Le sang-froid du photographe laisse incrédule. Lorsqu'il la prend, il sait ce qui va se passer, comme un spectateur, au premier acte d'une tragédie.

Les trois autres clichés ne sont que la captation de la trajectoire de l'avion.

Etreinte géométrique.

Il y a longtemps dans un camping à Avignon, l'un de mes amis a provoqué, malgré lui, une fuite de bouteille de camping-gaz. L'un de nos voisins resta debout en nous fixant avec gravité tandis qu'un autre se jeta par terre les mains sur la tête, comme un soldat au passage d'une mitrailleuse.

Auriez-vous pris la photo?

Seriez-vous resté bouche-bée, refusant le sens de l'instant et la condition de spectateur?

 

 

 

 

05/09/2011

Cumulonimbus

Vous avez deux ans et vous montez comme un petit singe sur le siège en velours. Vous prenez appui et vous vous hissez sur la pointe des pieds, vos petites mains s'agrippent à la lucarne ronde. Vous fixez des masses blanches. Vos pupilles s'élargissent, grossissent, voisinent l'explosion comme une cerise dans une centrifugeuse. Puis vous fermez les paupières. Les tissus blancs qui flottent dans le ciel vous éblouissent et une affreuse dame avec un couvre-chef veut vous attacher au siège.

Vous poussez un cri d'effroi, mais elle résiste. Elle ne vous laisse pas le choix. Vous tournez la tête vers le hublot : vous boudez dans les éponges blanches.

Plus tard, au détour d'une oeillade, vous découvrez qu'elle sert de la grenadine à tout le monde et pas à vous. Vous criez de plus belle parce que l'affreuse dame au chapeau est méchante et parce que les éponges blanches vous aveuglent. Vous avez mal aux oreilles. Soudain vous prenez sur vous. Vous séchez vos larmes, mais vous ne comprenez pas pourquoi votre frère se porte comme un charme. Enfin si, il boit une grenadine.

Même pas mal. Vous, vous avez les éponges blanches.

04/08/2011

Nuits laponnes

La Baltique a la blondeur de l'écume et porte la marque des jours de neige. Il est 23h30 aux portes de la Laponie. 9 degres celsius. Le vent balaie la rue principale et rosit les pommettes. Le Finnois reste inintelligible et c'est encore pire à l'écrit. "Je suis perdu" se traduit par" Olen menettänyt". 

Dans une région où il fait moins trente l'hiver, le rock est une question de survie. Nous prenons un bain de pureté car le vent passe la lumière au tamis.

Un air vivifiant, unique, une sorte de signature. La signature de la Baltique et de ses demoiselles d'honneur.

Les garçons en chemises de bûcheron et les jolies blondes ont encore des rêves. 6 mois d'obscurité, ça laisse le temps de rêver, de regarder la forêt ou de s'ennuyer. Il y de la richesse à s'ennuyer. C'est comme creuser le sable pour trouver des coquillages

Faudra faire gaffe, les finnois vont me pendre à leur étendage.  Solo de guitare. Coup de vent. Des joggeurs passent, jusqu'à 1 heure du matin. Lorsque l'été est là, les habitants en profitent jusqu'à la dernière goutte, l'hiver ils se glissent sous la couette. Tout le monde aime Moby et certaines finlandaises sont habillés comme des sacs, mais peu importe. Car la nature nous rappelle gentiment à notre humanité.

Minuit, la lune se lève et les rockeurs prennent leur petit déjeuner.

Nous n'avons que deux heures avant l'aurore. Dépêchons-nous et faisons l'amour.

 

01/08/2011

Cacao. Noir c'est noir. The Dark Side Of Chocolate.

C'est le produit le plus sensuel, le plus merveilleux.

Le chocolat.

Chaque année des enfants sont enlevés au Mali ou au Burkina Faso, arrachés à leurs parents, transférés illégalement en Côte d'Ivoire avec des complicités douanières, puis mis en esclavage dans les plantations de cacao. Et la pratique est fréquente au point qu"une opération coup de poing d'Interpol a libéré environ 60 enfants dans différentes plantations.

Ils avancent seuls avec des sacs plus grands qu'eux. Un documentaire Danois révoltant. 250 euros pour acheter un petit esclave.

Un garçon est assis sur un banc durant son enlèvement face caméra, on a envie de crier à Miki Mistrati le réalisateur, "prends-le, sauve-le". Mais il reste bien en face pour témoigner de la sauvagerie du monde. Et dire qu'il suffirait que Nestlé fasse pression pour que les pratiques changent.

35 à 40 pour cent de la production mondiale provient de Côte d'Ivoire. La France est le cinquième importateur de cacao. Il faut que le documentaire trouve un diffuseur français.

The Dark Side of Chocolate 

http://www.thedarksideofchocolate.org/

 

30/06/2011

10 conseils si vous êtes invités à un mariage

1 - Ne regardez pas la mariée cachée sous la Cadillac, ça éblouit.

2- Demandez votre chemin aux autochtones, surtout si vous avez perdu de vue la Papamobile.

3- Choisir un mariage à la frontière suisse pour passer plusieurs fois la douane bourrés.

4- Ne buvez pas de Pommard Rouge sur du Pommard blanc. 

5- Habillez-vous le mieux possible, car vous ne tenez pas l'alcool.

6- N'oubliez pas de dormir à Buffal'Hotel, l'hôtel de Buffalo-grill, pour dire bonne nuit au Shérif.

7- N'incitez pas le marié à finir la nuit au Macumba, parce qu'il n'est pas exclu que le videur du Macumba ait un moment de lucidité...Faites croire que les rayons laser indiquent une présence extraterrestre.

8- ...à moins que vous ne soyez le frère de la mariée, ne criez pas "Oh" et "Ha" durant le discours de la famille.

9- Refusez poliment de prendre des poses lascives si une invitée se frotte à vous, je vous rappelle que Karen, votre compagne a réussi à attraper le bouquet.

10- Faites appel à un traducteur pour transcrire les propos du marié en fin de soirée.

"BRRRRRRRRRRR... la vieille...peux...hooooo....vuuuuuu"

Ce qui signifie en substance "Je ne peux plus voir la vieille organisatrice, qui nous refuse une dernière chanson alors qu'il n'est que cinq heures du matin."

11- Ne vous demandez pas pourquoi l'épousée est si belle, c'est qu'elle est heureuse.

 

 

 

 

12/06/2011

Balle au pied

Tchétchénie , an III de Jonathan Littell - éd ; Folio documents (inédit) - 144p. - 6€.

Il y a les dictateurs discrets, dont on peut dire facilement qu "on ne savait pas"; qui habitent loin.

Et puis il y a les flamboyants, les Khadafi, les Bashar el Assad, les Kim Il Sung, les Milosevic... 

Et enfin les Wanabee...

Ramzam Kadyrov lui monte en grade : de plus en plus impitoyable, de moins en moins effacé. Au point qu'il prend le melon et a récemment invité Maradona a joué un match de foot. Un match de gala avec des hôtes désintéressés.

C'est son système que Jonathan Littel analyse lors de son retour à Grozny.

Il faut être un brin aveugle pour ne pas trouver le président tchétchène peu fréquentable. Ses justifications des crimes d'honneur, le sort qu'il souhaite réserver aux femmes, la terreur qu'il orchestre. Jonathan Littel évoque longuement l'assassinat de la journaliste russe Natalia Estemirova que Kadyrov avait clairement menacée.

La crème des anciens joueurs, y compris français.

C'est un peu sur son cadavre qu'ils ont essuyé leurs crampons.

 

 

31/05/2011

Que deviens-tu Gabriella Sabatini?

La Silvana Mangano de Roland Garros,

La ligne Maginot,

Oui,

Cat Stevens est bien revenu lui.